Human

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18/20
Nom du groupe Death
Nom de l'album Human
Type Album
Date de parution 22 Octobre 1991
Enregistré à Morrisound Studios
Style MusicalDeath Metal
Membres possèdant cet album1051

Tracklist

Re-Issue in 2011 by Relapse Records.
1.
 Flattening of Emotions
Ecouter04:30
2.
 Suicide Machine
Ecouter04:22
3.
 Together As One
Ecouter04:09
4.
 Secret Face
Ecouter04:36
5.
 Lack of Comprehension
Ecouter03:43
6.
 See Through Dreams
Ecouter04:25
7.
 Cosmic Sea
Ecouter04:28
8.
 Vacant Planets
Ecouter03:49

Bonus
9.
 God of Thunder (Kiss Cover)
Ecouter04:00

Durée totale : 38:02

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Death



Chronique @ Fabien

18 Avril 2008
En 1990, la sortie de Spiritual Healing est rapidement suivie de désordres au sein de Death, dus au caractère entier de Chuck Schuldiner. James Murphy est le premier à partir, remplacé par Walter Trachsler sur la tournée nord américaine. Jugeant ensuite les conditions du tour européen insuffisantes, Chuck refuse la traversée, laissant ses collègues dans l’embarras, qui recrutent en urgence Louie Carrisalez au chant et Paul Masvidal à la guitare, pour les concerts sur le vieux continent en première partie de Kreator (la tournée 'Coma of Souls') . De retour en Floride, l’équipe explose fatalement, Bill Andrews & Terry Butler rejoignant Rick Rozz & Kam Lee du groupe rival Massacre, laissant Chuck seul à ses méditations.

Le jeune leader ne tarde pas à remettre un line-up sur pied, que d’aucuns considèrent comme le plus prestigieux de la carrière de Death, alignant le batteur Sean Reinert et le guitariste Paul Masvidal de Cynic, ainsi que le bassiste Steve Digiorgio de Sadus. Chuck retrouve alors Scott Burns aux Morrisound Studios, pour les sessions de Human, son quatrième effort. L’album sort en octobre 1991 chez Relativity / Roadrunner, succédant de peu au From Beyond de Massacre, avec lequel Death est désormais rentré dans une féroce compétition.

Présentant son logo épuré et une illustration de René Miville qui s’oppose aux traditionnels dessins d’Edward Repka, Death entre dans une nouvelle ère, confirmant son détachement au death gore de ses débuts, déjà amorcé sur Spiritual Healing. Les paroles de Chuck sont encore plus intimes, abordant des sujets délicats comme le divorce sur "Lack of Comprehension". Musicalement, Human marque par ailleurs une césure nette avec la première trilogie de Chuck, distillant désormais un death complexe et progressif.

La perfection technique du couple basse batterie de Reinert & Digiorgio (parmi les meilleurs musiciens de la scène extrême du moment), permet en outre la mise en place d’une rythmique architecturée, servant de véritable tremplin aux riffs nuancés de l’excellent tandem Masvidal / Schuldiner, et à ses soli éclatants, à l’instar des duels de "Flattening of Emotions" & "Vacant Planets". Chaque titre possède ainsi sa propre coloration, depuis l’agressivité de "Together as One", jusqu’à la finesse de "Secret Faces" et "Suicide Machine", en passant par l’apaisement instrumental de "Cosmic Sea", apportant à lui seul une lumière formidable.

En cette année 1991, tandis que ses anciens acolytes assurent un death direct et sans fioriture au sein de Massacre, Chuck sort quant à lui son album le plus complexe et parmi les plus raffinés à ce jour. A l’instar de Morbid Angel, Carcass, Atheist ou Pestilence, Death possède en effet une pureté, une justesse, une technique et une vision incroyables, lui permettant de repousser sans cesse les limites du genre, et de conserver ainsi sa place parmi les formations deathmetal les plus influentes et les plus respectées.

Fabien.

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BenaxAgorre - 17 Avril 2018:

Pour moi l'album initiant la Sainte Trilogie (Human - Individual - Symbolic), qui prouve que l'ami Chuck ne vivait décidemment pas sur la même planète que les autres. Il y développe pleinement son jeu à la fois saccadé et fluide, son amour immodéré pour le Heavy commençant à transparaitre dans ses compositions, apparaissant en filigrane derrière des structures purement death metal. Le résultat est unique, composé de mélodies et de riffs au style inimitable.

Morbid Angel et Suffocation sont certes des maitres dans leur domaines respectifs, mais Schuldiner transcende le genre qu’il a lui-même contribué à définir, à une époque où la plupart des autres groupes tentent simplement de se l'approprier. Lovecraft disait de Shakespeare qu’il alimentait la totalité de l’esprit, là où les autres auteurs n’en alimentaient qu’une partie, et pour moi, c'est ce que fait Chuck avec le Death Metal.

J'écoute très souvent les trois albums mentionnés ci-dessus d'affilé, qui forment pour moi un bloc homogène, véritable monolithe indestructible rassemblant une œuvre magistrale et intemporelle, et représentant la quintessence du genre.

grogwy - 06 Septembre 2018:

En fait, c'est d'abord l'ex-Evildead Albert Gonzales (que l'on retrouvera chez Noctuary) qui remplace James Murphy sur la tournée américaine avec Dark Angel.Une tournée qui va être raccourcie en raison des tensions entre Chuck Schuldiner et certains membres de Dark Angel, notamment le chanteur Ron Rinehart.Ensuite, sous prétexte de mauvaises conditions d'organisation, Chuck Schuldiner refuse de tourner en Europe et abandonne ses comparses.Or le bassiste Terry Butler et le batteur Bill Andrews, qui ne l'entendent pas ainsi, recrutent Walter Trachsler (guitare) et le roadie Louis Carrisalez (qui n'est autre que le batteur de Devastation) au poste de vocaliste puis décident de partir en Europe.Lors de cette tournée (qui passe par la France) ne seront interprétés que des titres de "Scream Bloody Gore" (1987) et "Leprosy" (1988), les deux premiers albums de Death.Voici la vidéo du concert donné à Paris (Elysée Montmartre) le 2 novembre 1990 par cet inattendu line-up, un document rare :

https://www.youtube.com/watch?v=HOgvUeWCXc0

 

Fabien - 06 Septembre 2018:

DEATH est également passé à Lyon sur cette tournée fin 1990, mais je n'y ai malheureusement pas assisté, en ayant toutefois eu préalablement connaissance des déboires du groupe lors de sa traversée de l'Atlantique, ce qui m'avait un peu consolé de mon absence. J'ai pu me rattraper fin 1998 (si ma mémoire est bonne) pour la tournée ayant suivi la sortie du 7ème et dernier album de Chuck pour DEATH. Très bon souvenir. ++ FABIEN.

LeMoustre - 06 Septembre 2018:

Il y eut également une date à Toulouse (dans une boîte de nuit - feu l'Apocalypse), en première partie de Kreator. Même si Chuck n'était pas là, les titres étaient interprétés assez scolairement, sans génie mais avec application. A l'heure où Internet n'existait pas, certains ont découvert sur place l'absence du divin chanteur/guitariste, ce qui avait quelque peu plombé l'ambiance lors du concert, de mémoire.

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Chronique @ DerelictEarth

04 Juillet 2010
Que dire d'un album pour lequel tout a déjà été dit ? D'un album sur lequel le death metal moderne s'est plus ou moins calqué ? D'un album ayant un line-up aussi hallucinant que Human de Death ?

Replaçons ce disque dans son contexte : 1991, l'apparition de grands groupes tels que Immolation ou Suffocation aux USA. Death a sorti deux albums très classiques, puis un troisième laissant entrevoir une forte évolution du groupe, sans toutefois changer radicalement.

Puis est sorti Human, véritable pavé dans la mare du Death Metal américain, monument de complexité (pour l'époque) et de précision. Car c'est bien avec cet opus que le groupe entre dans une ère nouvelle, son âge d'or qui ne fera que s'amplifier jusqu'au décès de Chuck Schuldiner en 2001. Finis les riffs classiques et les ambiances sombres, le niveau technique s'envole pour tous les instruments, les structures des morceaux s'alambiquent. Le son est parfaitement maîtrisé, avec des guitares incisives et carrées, une batterie millimétrée et Steve Di Giorgio (cela suffit pour parler de basse non ?). Il est en revanche regrettable que la-dite basse soit un peu engloutie dans le mix, quoique bien audible. Les vocaux, comme toujours dans Death, sont assez particuliers mais ont l'avantage de ne pas déranger l'écoute.

Et quel line-up ... Mi-Cynic (Paul Masvidal et Sean Reinert), Mi-Dieux (Chuck Schuldiner et Steve Di Giorgio), les musiciens ayant rejoint Death à partir de cet album et jusqu'à la fin du groupe laissant rêveur.

Que dire des morceaux, si ce n'est qu'ils se surpassent tous en qualité (à part peut être Vacant Planets) ? Les riffs excellents s'enchaînent sans accroc et le headbang vient assez naturellement. Les styles des deux guitaristes se complètent à merveille lors des solos, Paul Masvidal ayant un jeu d'une fluidité incroyable, contrairement à Chuck Schuldiner, plus adepte du phrasé à base de bouillie de notes (mais bien quand même !). L'opener, "Flattening of Emotion"s, illustre à merveille cette dualité entre les solistes.

Sean Reinert quant à lui apporte une nouvelle dimension à la batterie dans Death, avec un jeu très carré mais varié, avec des influences jazz perceptibles (batteur de Cynic oblige). Bien que d'un niveau inférieur à Gene Hoglan, il enrichit la musique avec une profusion de coups de cymbales bien sentis (l'ouverture de "Secret Face" est assez impressionnante de ce côté...) et de contretemps groovy. Ses accélérations à la double-pédale offrent également une dynamique vraiment entraînante, le break de "Lack of Comprehension" en étant un bon exemple.

On note également la présence d'un morceau purement instrumental, "Cosmic Sea", qui s'il n'est pas de la même trempe que "Voice of the Soul" sur le dernier album, donne son lot de frissons et d'émotions avec ses arrangements harmoniques bien pensés et ses nappes de synthés discrètes.

Le contenu lyrique quand à lui a complètement changé des thématiques gore des précédents opus, et se révèle être plus orienté sur des considérations politiques ou philosophiques. Ce dernier point montre que Chuck Schuldiner a définitivement tracé un trait sur le passé, et les albums suivants continueront sur cette lancée avec des thématiques de plus en plus personnelles. Mine de rien, ça fait plaisir de lire des paroles qui parlent d'autre choses que de gore, de tripaille, et d'autres joyeusetés insipides (Coucou Cannibal Corpse !).

C'est donc tout au long de la quarantaine de minutes qui constituent cet album que s'enchaînent des tubes incontestables ("Suicide Machine", "Together as One", etc...). Moins freestyle que Individual Thought Patterns, moins émouvant et personnel que Symbolic, Human est sans doute l'album le plus froid et le plus carré de Death. Malgré cela, il marque un véritable renouveau du death metal américain, un nouveau départ pour un groupe légendaire qui n'aura de cesse de se perfectionner au fil des albums suivants jusqu'à sa fin tragique.

Human est donc un album indispensable à tout métalleux qui se respecte, pour son intérêt historique, mais surtout pour la musique d'excellente qualité qu'il contient.

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morgothduverdon - 05 Juillet 2010: DerelictEarth, si tu pouvais arrêter de mettre des avis négatifs sur les commentaires de mes camarades sur cette chronique, je t'en serais très reconnaissant, merci.
Et pas la peine de faire "ah mais non, j'ai jamais mis ça", _ça arrive pas tout seul dans ma boite de modération des commentaires.
DerelictEarth - 05 Juillet 2010: Désolé pour ça j'ai légèrement craqué, je suis dans une période assez difficile et j'ai tendance à prendre les choses trop à coeur et à titre personnel ...
Beergrinder je m'excuse d'avoir marqué tes commentaires en négatif, c'était inutile et gamin, j'ai juste ressenti de l'hostilité dans tes propos et ca m'a fait de la peine.
Balze - 05 Juillet 2010: C'est simplement aussi le fait de l'avoir vécu ou pas. Quand nous avons découvert "Scream Bloody Gore" et "Leprosy", c'était proprement hallucinant et totalement inédit. Et pour ma part, Même si je respecte le Death "Spiritual Healing" et post-"Spiritual Healing", c'est décidément les deux premiers albums que j'ai le plus écoutés et que je garderais au cas très improbable où on me forcerait à choisir, le scalpel sous les burnes. Même 20 ans après, je les écoute encore beaucoup et bien plus que les plus récents.
DerelictEarth - 05 Juillet 2010: Et oui je n'ai malheureusement pas la chance d'avoir cet "effet nostalgie" avec certains albums ... Étant retro-gamer, je comprend quand même bien ce que vous ressentez ;)
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Commentaire @ cacaman

17 Août 2005
Après de douteuses rumeurs de séparation, Death, enfin Chuck, nous revient en compagnie du line-up death absolu. Visez plutôt : le tout jeune batteur de Cynic, Sean Reinert, déjà monstrueusement puissant, le guitariste formateur du même Cynic, Paul Masvidal, au feeling jazzy et ambigu, et l'ex-bassiste de Sadus, Steve DiGiorgio, toujours avide de prouesses rythmiques. Le décor est posé, passons aux choses sérieuses.

Dès le début, le ton est donné : double grosse caisse rapide et syncopée, riffs en dents de scie (Flattening Of Emotions), le coup de masse d'armes est imparable mais semble plus complexe et moins mélodique que sur le prédécesseur "Spiritual Healing". Le death metal de Chuck se montre donc résolument plus fouillé, parsemé de nombreux ponts à tiroirs (Suicide Machine), de breaks à chausse-trappes (Together As One), de soli magnifiquement tournés (Secret Face), et bien sûr de rythmes apocalyptiques (surtout sur le break de Lack Of Comprehension). Les refrains sont coulés dans le ciment prise rapide, la corde de mi transpire, mais l'ami Chucky a encore élargi son champ musical en incorporant des mélodies dont l'originalité n'ont d'égale que leur génie (Cosmic Sea). Pas grand chose à dire, il n'y a qu'à écouter et crever... de jalousie devant telle démonstration d'aptitudes de composition et d'exécution.

N'épiloguons pas inutilement, cet opus, référence ultime de death metal première période ('85/'90), est un véritable festival d'agressivité, mêlant puissance et subtilité. L'auditeur, assiégé, saute sur les mines habilement disposées par Schuldiner et ses compères, les unes après les autres…les jambes, puis les bras, les tripes et enfin la tête (du moins ce qu'il en reste). "Human", une fois inséré dans le lecteur, vous condamne à être ramassé à la petite cuillère ! Morbid Angel meilleur groupe de death metal ? Bof.

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god_of_emptiness - 17 Novembre 2006: exelente chro mais t'a gaffé à la fin
morbid angel pratique un death metal tré tré tré loin de celui que pratique death , mais pour moi les deux groupes restent les meilleures references , death et ses influences jazzy et morbid angel et son classical feeling sur altars et blessed , sa brutalité sur covenant , sa perféction (ooh!) sur domination (avis personnel)
comparer death et morbid angel est impossible tellement ils sont éxelent
des dieux
 
cacaman - 20 Novembre 2006: héhé j'ai jamais aimé Morbid Angel... ;)
god_of_emptiness - 20 Novembre 2006: ahhh je voi :)
 
cacaman - 27 Janvier 2011: Je rectifie : je me suis vraiment mis à Morbid Angel, et Altars Of Madness est quand même bien bien bandant ^^
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Commentaire @ Mammoth

10 Fevrier 2008
S'il ne doit en rester qu'un, c'est probablement celui la. Human est en effet considéré par les connaisseurs comme THE disque de death, ce qui n’est d’ailleurs pas faux.
Mais revenons en 1991 Chuck , sur-motivé et remonté, décide de recruter les meilleurs musiciens qui soit et monte un line - up colossal : Paul Masvidal et Sean Reinert(Cynic) et De Steve DiGiorgio (Sadus). Entouré de ces pointures, l’un des guitaristes les plus influent du death metal prend des risques, et s’aventure sur un terrain plus mélodique et progressif que naguère. Human est en effet beaucoup plus musical que ces prédécesseurs et marque un tournant dans la carrière du groupe( Il reste cependant très agressif et speed) Malgré un enregistrement de moyenne qualité ,cet album hors norme réussit à être parfaitement abouti : Digiorgio est loin , très loin… mais le fracassant jeu de Reinert, aussi expert à la double que dans son travail jazzy sur les cymbales, les superbes performances lead de Chuck, ses textes personnels crachés comme du venin ; ce tout arrive à faire oublier la qualité du son.

On se délecte donc de ce death cru, mais complexe et recherché. « Lack Of Comprehension » est tout simplement le meilleur morceau de death jamais enregistré (Quel Solo !), au même titre que See Thought Dream , le refrain de Suicide Machine ou l’instrumental expérimental sombre « Cosmic Sea » un morceau à donner la chair de poule.
Seul malaise : les huit titres ne durent que 34 minutes…

En Résume :

Le Reign in Blood Du death.
R.I.P Chuck

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Commentaire @ Lord_Damar666

30 Août 2005
Après trois albums privilégiant l'aspect brut du death à sa technicité, Chuck réalise là le parfait compromis entre les deux parties de sa discographie, et accessoirement sa plus grande pièce.
Toujours habitué à s'entourer de musiciens plus talentueux les uns que les autres (on notera entre autre le grand James Murphy, ou encore Gene Hoglan, Richard Christy...), ici le chanteur dispose sous la main du bass hero Steve DiGiorgio (ex-Sadus, futur mercenaire apparaissant dans tout et n'importe quel projet où son jeu mérite d'être développé (Testament, Iced Earth, Vintersorg récemment...)), ainsi que deux ex-Cynic (groupe de techno-death ultra barré), Paul Masvidal et Sean Reinert, respectivement à la guitare et à la batterie. Avec cette section rythmique frôlant la perfection, tous les délires sont permis. Ainsi, la technique extrême des musiciens englobe avec bonheur une chaleur dans la composition qui se fait sentir à chaque morceau, donnant naissance à des hymnes tels Flattening of Emotions, Suicide Machine, Lack of Comprehension, repris en chœur dans tous leurs concerts par les fans. Cette symbiose unique entre technicité, mélodie et puissance, font de ce disque le sommet artistique du groupe Death, et par là même l'une des plus grandes œuvres du death metal. A genoux devant Dieu...


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Franck - 09 Juin 2007: Exelente chro d'un groupe que je ne connais pas du tout.
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