Hellfire Club

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18/20
Nom du groupe Edguy
Nom de l'album Hellfire Club
Type Album
Date de parution 15 Mars 2004
Style MusicalPower Mélodique
Membres possèdant cet album485

Tracklist

Tracks 13 and 14: Bonustracks (Limited Edition)
Tracks 13, 14 and 15: Bonustracks (Japanese Release)
1.
 Mysteria
 05:45
2.
 The Piper Never Dies
 10:07
3.
 We Don't Need a Hero
 05:31
4.
 Down to the Devil
 05:28
5.
 King of Fools
 04:22
6.
 Forever
 05:41
7.
 Under the Moon
 05:05
8.
 Lavatory Love Machine
 04:26
9.
 Rise of the Morning Glory
 04:40
10.
 Lucifer in Love
 00:32
11.
 Navigator
 05:23
12.
 The Spirit Will Remain
 04:13

Bonus
13.
 Children of Steel (Re-Recorded)
 04:04
14.
 Mysteria (Alternate version)
 05:33
15.
 Heavenward (Navigator Demo Version)
 05:21

Durée totale : 01:16:11

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Edguy


Chronique @ Eternalis

06 Décembre 2008
Il y a des styles où la note maximale (synonyme de perfection ?) est presque impossible à obtenir, faute à des albums cultes inestimables et indépassables depuis de nombreuses années. Concernant le power speed allemand, il ne va pas sans dire qu’attribuer une telle notation depuis la sortie des deux "Keepers of The Seven Keys" d’Helloween, voire même depuis le premier ep (contenant tout de même "Starlight" et "Victim of Fate", source originelle de tout un genre !) est presque impossible. Nombreux ont essayé mais personne n’arrivait à la cheville du mythe, que ce soit Gamma Ray, Iron Savior, Stormwarrior, rien n’y faisait, sans doute à cause d’une trop grande vénération pour leur aîné et une incapacité à véritablement s’en écarter. Mais Edguy se montra conquérant dès la sortie de "Vain Glory Opera". Mais qui s’attendait à un tel déluge de musicalité à l’aube de cette année 2004 ?

Rejetant (très) loin derrière toute forme de concurrence, Edguy, avec "Hellfire Club", délivre un maître album, autant culte qu’artistique, important que symbolique. Une puissance dantesque émane de ce disque, une agressivité et une musicalité hors du commun pour le style et le groupe. Et puis surtout cette impression intarissable de toucher du doigt le divin sur chaque morceau de cette galette, notamment les cinq premiers où, chacun dans leur style, ils dévoilent tout ce dont devrait être capable le style.

S’ouvrant sur une narration ténébreuse ("Ladies and Gentlemen, welcome to the Freakshow !"), le riff de "Mysteria" retentit (se rapprochant pour ma part beaucoup du "Killing Road" de Megadeth sous amphétamines) et s’ajoute un cri suraigu de notre ami Tobias. Et le rythme s’emballe : double pédale à fond, riffs chirurgicaux mais néanmoins mélodiques, un Tobias Exxel déchaîné (c’est assez impressionnant en live), des textes étonnamment sombres pour Edguy (il est question de sectes et de philosophie occulte) et un chanteur en forme olympique. Des couplets où Tobias va au maximum de ses capacités pour amener un refrain déjà culte où les adeptes de "headbanging" ne peuvent que se retrouver.

Arrive déjà l’exceptionnel "The Piper Never Dies". Presque un article entier pourrait lui-être décerné tant sa richesse est grande. Débutant sur une imposante et languissante ligne de basse, un hurlement de Tobias (jamais je ne l’avais entendu crier comme ça, d’une jouissance absolue !) vient alourdir considérablement le tempo. Les passages mémorables se succéderont, comme une longue ascension vers les cieux. Ce qui est extraordinaire avec ce morceau (sans doute le meilleur que Tobias et Jens aient jamais composé), c’est qu’il aborde plusieurs genre mais reste toujours très cohésif, très fort et structuré, pour aboutir à une accélération finale foudroyante sur laquelle Tobias réalise de véritables exploits, inchantables pour le commun des mortels ("Oh the piper never dies, he never dies, never dies..."). Un titre ultime qui justifie à lui seul la note finale.

Mais ce n’est pas tout. La puissance et la rapidité reviennent au galop avec le dément "We Don’t Need a Hero", ultra speed (quel batteur que ce Felix tout de même…) et destructeur et avec la géniale idée (pourtant simple, au final) de superposer un solo de batterie et de guitare, et quel résultat! Jouissif, à ne plus savoir où donner de l’oreille, ébahis que nous sommes devant tant de génie et de savoir-faire. L’orchestre fait son apparition sur le break instrumental afin d’apporter encore plus de grandeur à l’album de ce début de siècle.
"Down to the Devil" suit et nous pond le refrain le plus mémorable, accessible, accrocheur et inoubliable possible. Une nouvelle fois, le génie nous explose en pleine gueule avec presque une simplicité insolente, tout en ayant l’air de venir si naturellement. Un morceau plus rapide se rapprochant de l’univers d’Avantasia, comme en témoigne la splendide intro au piano.

Puis vient le tour du single "King of Fools", doté d’énormément de claviers et d’arrangements en tous genres, comme ce chant passé au vocodeur avant le refrain comme sait si bien le faire Shagrath de Dimmu Borgir. Un titre plus posé, presque spatial, où le chant superposé aux nombreux chœurs du refrain (comme sur la plupart des titres de cet album) fait toute la différence avec les autres groupes.

"Under the Megadeth" continuera d’aplatir vos neurones de par son riff central énorme et puissant surmonté d’une batterie défonçant tout sur son passage, dans un déluge de notes et de mélodie, mais dans le style propre à Edguy. Il n’est plus question de réminiscence d’Helloween ou d’Iron Maiden, Edguy est Edguy, un point c’est tout, et sans doute pour la première fois. "Navigator" ralentit considérablement le rythme après l’intro érotique "Lucifer in Love" (titre pleinement évocateur de son contenu !) et son feeling plus hard rock et simple rafraîchira un auditeur épuisé après plus de cinquante minutes de jouissance auditive.
Cette écoute se terminera sur une splendide "The Spirit Will Remain", entièrement orchestrale, où le précieux organe de Tobias se mêle à des symphonies troublantes de sensibilité.

La petite touche humoristique propre à Edguy se nommera "Lavatory Love Machine", sympathique moment de 15e degré et moment favorisé pour les délires lors des concerts.
Le son (car je m’aperçois que je n’en ai pas parlé) est limpide, puissant et possède une aura très métallique, dans le sens où elle ne sonne ni "old school" ni vraiment moderne. Elle sonne metal, point !

Que dire de plus ? "Vain Glory Opera" est l’album le plus symphonique, "Theater of Salvation" le plus culte, "Mandrake" le plus conventionnel (attention, je ne le dis pas dans un sens péjoratif !), "Rocket Ride" le plus drôle et "Tinnitus Sanctus" sans doute le plus sombre et solennel, et bien "Hellfire Club" restera comme l’album le plus ambitieux et le plus musical enregistré par nos Allemands préférés, dépassant même de loin, au passage, les pères fondateurs.
Il est de ces disques repoussant toutes les limites, comme "Painkiller" en son temps, et s’inscrit comme un album indispensable pour tout fan de metal se respectant.

"Hellfire Club" restera gravé dans l’histoire du metal, ni plus, ni moins !


7 Commentaires

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Psychosic - 03 Octobre 2010: Je viens de le découvrir, il est tout bonnement énorme, genial et indescriptiblement rageur !!! Under The Moon est une tuerie sans nom !!!
pielafo - 09 Décembre 2010: Quel album! putain! Quel Album! Album avec un grand A s'il vous plait...
asmoth - 17 Mai 2011: Je suis le seul à trouver le son de la caisse claire sur The Piper Never Dies très énervant ? J'imagine que c'est une affaire de goût ^^,
cotok - 12 Juillet 2011: Tout bonnement GEANT !!
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Chronique @ MetalAngel

25 Avril 2005
Mars 2004 : Edguy sort un nouvel album, tant attendu par les fans et la presse du monde entier. 'Hellfire Club' est une bombe de heavy traditionnel, comme on n'en fait plus... Puissant, mélodique, technique, passionnant, ce disque est le meilleur du combo de Fulsa. Chaque titre apporte une nouveauté dans le répertoire du groupe, mais, également dans le style restreint du heavy 80's.

"Mysteria" à l'honneur d'ouvrir l'album : ce morceau est ultra rapide et dans la veine d'un "Fallen Angel". Il est dédié aux fans les plus agressifs.

Suit un des meilleurs morceaux épiques de Tobias & cie : le fabuleux "Piper Never Dies", avec une pincée de hard 70's, tant appréciée par le sieur Sammet. Une compo qui plaira beaucoup aux amoureux de Led Zeppelin et Deep Purple. Très progressif dans sa structure, on a là un titre similaire à "The Pharaoh".

Nous arrivons au trio infernal : "We Don't Need A hero", "Down To The Devil" et "King of Fools". Le premier morceau est typique du heavy speed germanique, tant dans la précision et l'incisivité de Felix "Alien Drum Bunny" Bohnke que pour son côté ultra-mélodique. Le deuxième est également dans la veine des meilleurs Gamma Ray et Helloween, mais avec une touche moderne. Le troisième est une chanson typique d'Edguy, en mid-tempo, avec une voix trafiquée au vocoder et une partie de synthé qui s'infiltre parfaitement dans la structure mélodie/rythmique.

Première ballade de l'album, "Forever" est magnifique, telle un "Land Of The Miracle" ou "Wash Away The Poison". Un coup de maître!

Autre speederie, "Under The Moon" présente tout ce que l'on aime chez Edguy : doubles-pédales, mélodie, voix de castra, riffs power metal...

S'ensuit un clownesque OMNI, intitulé "Lavatory Love Machine" : une blague, un peu loupée, mais, néanmoins trés groovy.

Un petit interlude, "Lucifer In Love" (limite érotique), avant de revenir dans une course effrénée avec "Navigator", épique mid-tempo, très proche de "Ghost Of The Navigator" et de "Rime Of The Ancient Mariner" de la Vierge de Fer.

Enfin, pour clore en beauté l'album de la consécration et du génie, une deuxième ballade, tout en douceur, et dont la mélodie est jouée par un orchestre, et pas n'importe lequel : l'orchestre philharmonique des studios filmographiques de Babelsberg, qui a notamment joué pour "L'histoire sans fin", le somptueux "The Spirit Will Remain". D'ailleurs, l'orchestre apparait régulièrement tout au long de l'album.

Comme bonus européens, on a eu droit à "Children of Steel", morceau speed metal par excellence, et "Mysteria" avec comme guest, le guitariste/vocaliste de Kreator, Mille Petrozza.

Mon conseil : jetez-vous les yeux fermés sur ce disque qui, à bien des égards, a battu en qualité le nouveau Judas Priest.

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Chronique @ EndiMistery

08 Mai 2011

...un album attendrissant, avec bien sûr la pointe de délire essentielle bien propre à Edguy ...

Le chemin d'un fou passe par de nombreux chemins, qui eux-mêmes empruntent un chemin énigmatique. Le chemin vers la grandeur, la renommée et la célébrité. On pourra en dire fort sur un lutin d'à peine la taille d'un adolescent et d'un esprit enfantin un peu cinglé. Un lutin génial, le lutin de la scène Power, le lutin d'un groupe ambitieux et à la destinée magique. Tobias Sammet est un génie. Un pur génie. Compositeur hyperactif et sans doute fêlé de l'adolescence, le jeune Allemand fait partie de ce groupe si connu, très admiré des jeunes, le groupe que l'on nomme Edguy. Prononcé Edgoui par la jeunesse et Edgaille par l'adulte, le groupe se remarque par un genre musical qu'est le Heavy Power, ou souvent plus considéré comme du Power Mélodique. La liberté que se donne le groupe, et bien sûr Tobias Sammet avec le genre, offre une musique digne d'un jeune génie hyperactif. Leur style est presque unique, mais souvent comparé. Un style unique car les compositions sont si libres, si belles, et parfois même décapantes...

On peut le dire de suite, la route est tracée depuis plus de quinze années. Après un commencement pas catastrophique mais très controversé (Savage Poetry, Kingdom of Madness) le groupe a su trouver la porte vers la gloire, avec pour ne pas en dire plus, le majestueux Vain Glory Opera et le titanesque Theater of Salvation. La jeunesse est sans doute la réussite du groupe. Le chemin vers la maturité a alors ciblé le groupe, et la musique est devenue moins grande, moins belle, mais toujours d'une énorme qualité. Les albums restent très beaux, et Tobias Sammet reste le grand génie qu'il est depuis maintenant treize ans. Les albums se sont enchaînés rapidement et toujours avec une grande classe, c'est le moins que l'on puisse dire. Place alors en 2004 au très réussi Hellfire Club, album-culte des Allemands, souvent considéré comme l'album mélodique du Metal. Mais... est-ce qu'il mérite tant d'éloges ? Reste à voir l'aventure que nous offre l'album...

« Ladies and Gentleman, Welcome to the Freakshow ! »

Un riff assassin, une batterie utile pour un régime, et un cri surhumain comme jamais n'en a fait Tobias Sammet ! D'ailleurs, son chant est énorme sur le morceau, hargneux comme jamais. Il nous prouve que sa voix très claire peut devenir à tout moment un son de tueur jouissif et incroyable ! Le refrain est très sombre et accrocheur, gros atout et grosse claque. Les couplets sont truands et la mélodie est tortueuse et vraiment, on se doit de le dire plusieurs fois, tueuse. Le solo de Jens Ludwig est surprenant, montrant un sens de la composition très sombre pour le groupe allemand. Un pur moment jouissif indispensable à la tracklist d'Edguy !
Des titres accrocheurs, nous en avons des centaines chez Edguy. Mais, le plus marquant ici, c'est celui du morceau qui n'a pas besoin de héros. We Don't Need A Hero est une perle du mélodique. Son refrain est juste énorme, voyez-vous, comme rarement Edguy en fait. On pourrait se surprendre à trouver à ce morceau une pointe de symphonie. Il n'en reste pas moins un superbe morceau comme Edguy n'en fera plus, du moins pour l'instant, par la suite.
Une surprenante nappe de piano, une mélodie magnifique, et le tambour se lève. Down To The Devil montre un Edguy d'antan avec brio et une certaine nostalgie. On regrette toujours ce genre de morceau qui donne un sentiment de grandeur à son écoute. Le refrain est... palpitant, la mélodie est géniale, on pourra tout dire de ce titre. Le passé est remis au goût du jour par Monsieur Sammet...

Tout l'ensemble de l'album est satisfaisant, mais l'enfoncement du clou se trouve dans un titre écrasant de dix minutes. The Piper Never Dies, une des merveilles d'Edguy. Souvent nommé « A Truly Masterpiece by Edguy » par les fans anglais ou « Les cornemuses divines » par les Français, ce morceau pourra avoir toutes sortes de noms qui ne manquent pas un mot pour qualifier son infini beauté. Par une intro au cuivre oppressante, avec quelques touches de claviers agréables, et un élément perturbateur avec Tobias Sammet criant du haut de la montagne (avec une musique de fond totalement folle !). Le couplet qui suit calme la musique de fond, pour faire plus aisément entendre la batterie de Felix Bonhke et la basse de Eggy, avec le chant solitaire de Tobias, limite hargneux, limite calme et doux. Après, vient le refrain majestueux aux paroles recherchées (And sleep with the fire..), et au tempo changeant entre les deux phases du refrain, et nous avons droit à l'appellation des cornemuses. La suite suit le même schéma, jusqu'à ce que la colère arrive tout en douceur, de façon parfois effrayante, cette espèce de note de clavier que l'on pourrait tout aussi entendre dans une maison hantée... et la colère arrive comme une tempête, avec un riff tueur, passage faisant fortement penser à Mysteria. Tobias Sammet arrive en trombe, pour laisser passer un solo plus doux, plus beau, plus tout. Et bien sûr, Tobias revient sur un fond de batterie et de guitare majestueux, avec ces « Dreamer ! » ponctuant la course. Le final arrive, rapide, majestueux. Tobias Sammet se met à rude épreuve, aussi rapide que la musique. La piste épique se termine sur ce final incroyable, mettant bouche bée l'auditeur alors que quinze minutes se sont écoulées seulement depuis le début du disque...

L'essentiel est dit. Ce disque renferme des morceaux accrocheurs, avec comme gros plat un morceau de dix minutes gargantuesque ! On ne peut pas vraiment en dire plus sur ce très bon Hellfire Club. Pour certains, ce sera le le grand album d'Edguy, pour d'autres, ce sera ce que Tobias Sammet sait faire de mieux. C'est donc, pour moi, un album dans la lignée de l'excellent groupe allemand, un album attendrissant, avec bien sûr la pointe de délire essentielle bien propre à Edguy (Lavatory Love Machine).

En un mot : beau.

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Commentaire @ Supreme

03 Fevrier 2009
Attendu par les fans, le nouvel album d’Edguy sort 3 ans après l’excellent « Mandrake ». Ces longues années d’attente ont porté leurs fruits. « Hellfire Club » postule pour le meilleur album 2004 et il a d’ailleurs toutes ses chances de le devenir.

« Ladies and gentlemen, Welcome to the freak show ». Ainsi commence l’album avec une bombe intitulée “Mysteria”. Tout y est dans ce morceau : refrains accrocheurs avec un gros son et une mélodie bien heavy. Ça n’a plus rien à voir avec le Edguy style « Mandrake ». Les mélodies douces, aiguës et gentilles sont remplacées par du heavy comme on l’aime. La voix du chanteur est également moins mise en avant par rapport à la musique. Tout l’album est de ce style avec un léger côté heavy metal des années 80.
Le second titre, « The Piper Never Dies », est dans la même lignée que « Mysteria » mais dure plus longtemps (environ 10 minutes). C’est LE gros morceau de l’album. Les autres ne sont pas mal mais un cran en-dessous, à part quelques uns comme « Kings of Fools » tiré directement du single ayant le même nom sorti avant l’album.
On retiendra aussi « Down to the Devil », « Navigator » et le hilarant « lavatory Loves Machines ».
C’est aussi la fin des paroles assez poétiques. En effet, sur « Hellfire Club », les morceaux ont principalement des sujets assez funs.

Les deux ballades ne sont pas les points forts de cette galette. Elles manquent d’originalité mais elles sont surtout ennuyeuses.
Les bonus ne sont pas indispensables non plus. « Children of Steel » n’est pas aussi entraînante que les autres.
Le dernier bonus est « Mysteria », interprété en duo avec le chanteur « Mille Petrozza ». Elle diffère juste légèrement de la première version.

« Hellfire Club » est à posséder pour tout amateur de heavy. Edguy a revu son style et le changement a été une véritable réussite. Et en plus la cover est magnifique. Suprême.

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