Tracklist
1. Darkness Descends | 05:53 | |
2. The Burning of Sodom | 03:18 | |
3. Hunger of the Undead | 04:19 | |
4. Merciless Death | 04:08 | |
5. Death Is Certain (Life Is Not) | 04:18 | |
6. Black Prophecies | 08:34 | |
7. Perish in Flames | 04:52 |
Durée totale : 35:22
1. Darkness Descends | 05:53 | |
2. The Burning of Sodom | 03:18 | |
3. Hunger of the Undead | 04:19 | |
4. Merciless Death | 04:08 | |
5. Death Is Certain (Life Is Not) | 04:18 | |
6. Black Prophecies | 08:34 | |
7. Perish in Flames | 04:52 |
Durée totale : 35:22
Il y a des albums, allez savoir pourquoi, dans lesquels on n’arrive jamais à entrer, quels que soient le nombre de tentatives ni les années qu’on y consacre. Le pire, c’est quand ça arrive avec des chefs d’œuvres universellement reconnus, ceux dont tout le monde fait les louanges, respecte l’influence déterminante dans le genre, vante les riffs et les compositions imparables et verse sa petite larme en repensant à l’époque bénie au cours de laquelle ils ont vu le jour. Alors on se sent tout honteux, on se dit qu’on doit louper quelque chose, on réessaye encore et encore… Et pourtant, rien à faire, ça rentre pas, c’est hermétique. Bref, ça le fait pas.
J’ai bien peur que Darkness Descends fasse partie de cette catégorie d’albums avec lesquels ma relation se résume à ce désespérant autisme affectif. Au risque de me faire crucifier en Place de Grève par les 99,9 % des SOMiens qui vouent un culte à ce disque, je le trouve monotone, indigeste, vite redondant et – osons le terme – chiant.
Certes, il est d’une agressivité assez jouissive au premier abord et le pilonnage en règle du père Hoglan laisse pantois l’auditeur tétanisé ; mais cela suffit-il à le rendre intéressant sur la longueur ? Pour ma part, j’ai beau tendre l’oreille, je peine à déceler ces riffs terribles qui, semble-t-il, font frissonner tout le monde, et je ne retrouve dans le chant de Don Doty ni la folie délirante d’un Paul Baloff, ni la rugosité d’un Mille Petrozza, ni même l’efficacité épurée d’un Tom Araya. Le bourrinage systématique d’un titre à l’autre finit par me saoûler, et je peine en général à aller au bout de l’album.
Blasphème suprême : le seul autre album de DA que je connaisse un tant soit peu, Time Does Not Heal, m’apparaît finalement plus diversifié, plus inspiré et, en fin de compte, plus percutant que celui-ci.
Bon allez, je file me cacher au fond du premier trou que je trouve, j’entends déjà les pierres et les noms d’oiseaux siffler à mes zoreilles, haha ! ;)
Merci pour la kro ! :)
Faudrait que tu me files l'adresse du trou où tu t'es planqué, PhuckingPhiphi, que je puisse te rejoindre. Tout comme toi je n'ai jamais pu rentrer dans la disco de ce groupe, et pourtant ce n'est pas faute d'avoir essayé au fil des années.
Je me.suis toujours demandé pourquoi ce groupe n avait ete plus soutenu par sa maison de disque....
En tout cas je suis arrivé tardivement à Dark Angel et mesure au combien il est regrettable que ce groupe n est pas eu la mediatisation necessaire à 1 envol commercial digne de ce nom.
La chronique de Fab fut 1 comme 1 declic et 1 evidence sur cet album...
Aujourd hui le cd tourne regulierement entre 2 ~3 oeuvres classiques du thrash...
On en sort k.o on peut considérer ce darkness descends comme un must have du trash qui frappe par sa violence et son intensité.
Depuis le temps que je le cherche à un prix abordable,je l'ai trouver à 10 euros sur lbc, il est en route !
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