Art(s) et littérature >> Vos compositions littéraires...
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Dimanche 11 Janvier 2009 - 23:23:39
Pour ceux qui s'en souviennent, j'avais posté il y a quelques temps un appel à la lecture, le résultat est ici, merci encore à tous ceux qui ont pris un peu de temps pour lire le pénible monsieur que je suis.


Il était assis sur un fauteuil de cuir sombre constellé d'opale, d'alexandrite et de Fragments d'obsidienne noire et polie. Le flux et le reflux de l'eau lui arrivait malgré l'épaisseur de la coque et le blindage de sa cabine située dix sept mètres au dessus du niveau de flottaison de son bâtiment. Sur un bureau d'ébène était étendue une vieille carte tachée de sang, son papier était jaune et craquelé, ses bords étaient abîmées, craquant entre ses doigts. Elle représentait en enchaînement de côtes et plusieurs points avaient été dessinés à la surface, sans doute pour y figurer une flotte. Il replia la carte dans un froissement de vieux papier et se leva de son fauteuil pour se diriger vers la sortie, à quelques mètres sur sa gauche, au son de l'eau qui battait la coque.
Le couloir était éclairé par quelques lampes électriques, le verre était taillé de façon à représenter une flamme vacillante, Sur les murs étaient tirées des tapisseries présentant une Macabre parodie de chasse où lui et deux autres hommes, à la peau d'albâtre et au port fier, montés sur trois chevaux noir, poursuivaient un troupeau de gibier humain, chaque bête était sale et nue, comme avilie par le talent du peintre. Il était content du travail de l'artiste, maître Sciebiti l'avait vraiment bien représenté, bien qu'un peu trop petit et lourdaud à son goût. Il fit un pas de plus, le sol était de chêne et craquait légèrement, malgré l'épais velours rouge qui parcourait le sol. Plusieurs officiers le saluèrent alors qu'il passait dans le corridor pour se diriger vers le niveau inférieur. Prenant un petit escalier de bois et d'acier, il s'enfonça dans les profondeurs de son vaisseau.

Il marcha longtemps pour finalement arriver devant une porte d'acier noir et sale. Une lumière blafarde filtrait par une petite ouverture pratiquée sur le haut de la porte, au niveau de son visage. Toquant trois fois à la porte, il sortit une dague de sous son long manteau. Elle était parfaitement aiguisée, renvoyant un léger reflet rouge. On vint lui ouvrir, il s'avança dans la petite pièce faiblement éclairée par une petite lampe pendue au plafond. Un grand homme portant un uniforme gris le salua de la main droite.
- Kriegmeister, le prisonnier est en vie et en bon état, comme vous l'avez demandé. Il n'a pas dit un mot depuis qu'il se trouve entre nos griffes, dit-il.
- Bien, vous avez fait du bon travail, laissez le moi, quand j'en aurais fini vous nettoierez les restes. En attendant, prenez vos quartiers je vous ferais mander.
Le soldat le salua puis partit, fermant derrière lui la porte qui laissa entendre un long grincement métallique. Le son fit sourire le Kriegmeister.
Il se retrouvait seul avec son prisonnier; il aimait ces moments là, où il n'y avait que lui, son jouet et son imagination. La créature était vêtue de loques, ses cheveux étaient courts, bruns tirant sur le noir. Son regard suintait littéralement de terreur animale. Un rire dément sortit de la bouche du Kriegmeister. L'animal était à sa merci. Il avait été capturé le matin même sur un bateau qu'avait abordé une petite frégate de sa gigantesque flotte. Ses soldats avaient fait prisonnier la totalité de l'équipage, non pas qu'ils eussent besoin d'information mais lui et ses lieutenants aimaient bien s'amuser avec les prisonnier avant de les tuer et d'arborer leurs cadavres mutilées sur la coque de leurs bateaux. Ainsi, dès qu'un navire de reconnaissance trouvait un bâtiment à aborder, il faisait tout son possible pour en sauvegarder l'équipage afin de le mener au haut commandement de la flotte de guerre.
Il s'agenouilla près de l'homme, et lui susurra à l'oreille:
- Je lis de la terreur dans tes yeux, j'en conclus donc que tu sais entre quelles mains tu te trouves, n'est ce pas ? Il lisait dans les yeux de l'homme une peur indicible, une terreur sans nom, millénaire, enfouie sous la conscience humaine, mais qui pourtant ressurgissait cependant en cet instant, dans les yeux de la créature qu'il s'apprêtait à torturer. Vous les hommes, vous n'êtes guère plus que du bétail. Vous refusez de voir ce que vous êtes réellement, cela n'est pas grave car l'ère du sang et des larmes est proche, et, pathétiques créatures que vous êtes, vous ne pourrez m'arrêter.
- Vous êtes un monstre, une créature des enfers, et vous serez stoppé un jour ou l'autre, balbutia l'homme.
- Je me permets d'en douter vois-tu, ayant rassemblé la plus grande armada de tout les temps, je frapperais prochainement à la porte de ta nation, que comme tant d’autres j’anéantirai. Certains de tes semblables ont compris qu'ils ne pouvaient nous vaincre, alors ils nous ont rejoint, grossissant nos rangs, et maintenant ils nous vénèrent, moi et mes semblables comme des dieux vivants.
Le Kriegmeister pris alors un sac de sel par terre, il ouvrit le sac de sa dague et pris une poignée de sel à pleine main.
- Ah ! Le sel, n'est ce pas là un outil merveilleux, à mil et un usage, dont tu découvriras bien assez tôt le plus jouissif. Il plaça alors sa main au dessus de l'œil de son jouet et ouvrit très légèrement son poing. Sa victime ferma ses yeux mais il lui découpa les paupières, exerçant une très légère pression, pour ne pas malencontreusement endommager la cornée, mais suffisante pour couper proprement la fine membrane. Le prisonnier hurla alors qu'un peu de sang commençait à couler de la coupure nette et précise qui entourait l'oeil gauche, le sel commençant à l'attaquer et faisant sécher le sang à sa surface. Les hurlements était de plus en plus sonore, produisant par là même l'effet recherché par le Kriegmeister, il sourit tout en se rendant compte qu'il avait épuisé tout le sel qu'il avait en main, la créature avait maintenant arrêtée de pousser ses pathétiques hurlement et gémissait à présent alors qu'elle était parcourue de convulsion. Il joua ensuite un peu avec elle, en lui tailladant le visage à l'aide son couteau, mais cela l'ennuya vite.
Il resserra les sangles qui attachait l'aveugle au sol, lui donnant un violent coup de pied de sa bote d'acier dans l'abdomen, pulvérisant probablement un quelconque organe vital, il se releva pour aller fouiller dans une petite sacoche se trouvant près de l'entré. Après quelques temps il en ressortit une bouteille d'un liquide noir et huileux ainsi qu'une boite d'allumette. Il marcha lentement vers l'aveugle, lui laissant le temps de réfléchir a son sort, faisant entendre le son lourd et pesant de ses bottes sur le sol d'acier. Le Kriegmeister se pencha enfin sur l'homme qui gémissait en demandant grâce. Avec sa dague il entreprit d'ouvrir doucement l'abdomen de l'homme qui recommença à hurler, mais ce fut vite fini, il était déjà mort. Alors il desserra l'emprise des sangles sur la chair de l'aveugle, puis le souleva de terre avec une force prodigieuse, d'une seule main. Il le pendit ensuite à un crochet rouillé, entraînant un immonde bruit de succion alors que le fer entrait doucement dans la chair, s'enfonçant progressivement sous le poids du cadavre, il se dit à lui même, en souriant:
- C'est dommage, je n'ai même pas pu essayer le pétrole sur celui la. Il sortit de la pièce en faisant grincer la porte et remonta les escaliers.


Sur le pont, l'air était frais, venant caresser le visage blafard du Kriegmeister dans une douce matinée au reflet rouge. D'où il était, il pouvait voir l'immensité de sa flotte, une armada telle que le monde n'en avait jamais connue, elle s'étendait à perte de vue, malgré sa vision supérieure. Plus de quatre mille bâtiments de débarquements des types les plus variés, soixante sept cuirassés, quatre-vingts croiseurs, deux cent quarante-deux destoyers, cinquante deux porte-avions, une centaine de dragueurs et chasseurs de mines, quatre-vingt dix sous-marins, plus de sept cent navires d'escortes et de ravitaillement. Une force telle que jamais un homme n'en avait eu sous son commandement. Cette flotte était mené par le plus puissant navire jamais sortit d'un chantier maritime, l'Annihilator, quatre cent quatre-vingt dix neuf mètres de long, un maître-bau de soixante dix sept mètres, une puissance de feu inimaginable, une bordé de canons du plus gros calibre, un monstre d'acier et de feu, le maître des mers. C'était Son navire, il était sortit des chantiers quelques années auparavant et avait semé la terreur sur toutes les mers du globe, affirmant la suprématie de la marine du Kriegmeister.
L' Europe puis les autres terres mises à genoux par ses immenses armées fournirent les matériaux et la main d'œuvre afin de réhabiliter et de construire de nouveaux bâtiments de guerre, on avait remit en service nombres d'anciens navires et d'autres sortaient des chantiers au rythme du martèlement de l'acier et du pas des armées qui asservissaient toujours plus de terre et de peuple en son nom, ceux qui refusaient de le servir périssaient dans de gigantesques purges, leurs os broyés sous les chenilles de ses chars ou succombant dans d'immenses brasiers qui consumaient des nations entières.
Ses armées avaient traversées les mers du globe, ne laissant plus que cette nation hors de son giron, il avait refusé tout compromit, avait exécutés des millions d'hommes, de femmes et d'enfants. Il se souvint avec un frisson d'extase de l'odeur de chair carbonisée et de putréfaction qui exhalait des charniers à la suite du siège de Londres. Les habitants avaient tenus tête à ses armées pendant plus de quatre mois, jusqu'a ce que le manque de vivre et de soins eut raison de leurs défenses. La moitié de la population s'était rangée de son côté, ce qui facilita grandement la prise de la cité. Finalement, le neuf avril il donna l'assaut final, répandant ses troupes comme un brasier dans la ville, s'en suivit un chaos sans nom, la ville s'embrasa alors que ses divisons blindées atteignaient le palais de Westminster, réduisant au silence les derniers vestiges de démocratie en Europe. Sur les près de neuf millions d'habitants qu'abritait la ville avant le siège, il n'en restait plus que six, en comptant les hommes qui s'étaient rangés sous son étendard. Le massacre avait continué pendant trois jours. Ies survivants qui avaient refusés d'embrassés sa cause avaient été exécutés puis entassés sur d’immenses brasiers allumés en dehors de la ville. Ce scénario c'était répété maintes fois depuis des années, augmentant sa puissance et le nombre de ses esclaves. Londres, Pekin, Tokio, Pretoria, Moscou... Toutes ces villes étaient tombées presque sans combattre.


Jamais le monde n'avait connu un conquérant comme lui, il contrôlait un territoire s'étendant du Groenland à la nouvelle-Zélande. Alexandre le grand, Cesar, Napoleon, Hitler, il les avait tous dépassé en prestige comme en puissance. Le destin de milliards d'âmes reposait entre ses mains, seul une nation lui résistait encore, et ce depuis le début de cette guerre, mais bientôt elle allait être balayée. Les armées du Kriegmeister allaient se répandre à sa surface comme une traînée de poudre et n'en laisser que ruine et désolation, cette nation qui avait accueillit tout les résistants à son hégémonie sur cette terre depuis le début du conflit ne serait bientôt plus rien. Ses hommes armaient les canons pour le combat, la flotte avançait maintenant, terre en vue, il savoura ce moment, son triomphe, toute ça vie, il avait attendu cet instant, et maintenant que la victoire était à portée de mains il pris conscience du chemin qu'il avait parcouru depuis mil ans.
Il s'avança sur son estrade pour prendre la parole devant sa flotte, il n'en voyait ni toute l'immensité, ni ne pouvait de sa voix atteindre tout les soldats massés dans les entrailles de leurs navires. A sa droite ce tenait trois hommes vêtus de pourpre, au corps élancé et au teint blafard, c'était là une partie de son état major, des immortels, comme lui. Il leur décocha un sourire carnassier avant d'enfin prendre la parole, sa voix tonitruante relayée dans les vaisseaux par toute une série de haut parleurs:
- Mes frères, voici venir par devant vous le jour que nous attendons tous, notre ennemi est là, sur cette terre que vous pouvez apercevoir, dit il en désignant de sa main le rivage qui s'approchait doucement. L'heure de la curé arrive, nous arrivons au bout de notre quête, cette nation sera rasée, son peuple sera exterminé, nous répandrons leurs cendres sur ce monde,leur sang purifiera cette terre, ainsi notre triomphe sera total ! A la guerre !
Une série d'acclamation se fit entendre sur le pont des navires environnants, il sourit en se retournant vers ses généraux:
- L'heure du sang et des larmes arrive, mes amis, et rien ne pourra plus l'arrêter.
- Le sang des esclaves sera répandu sur la terre. Répondirent en coeur les trois immortels.



Un vacarme assourdissant remplissait les rues de New York, la venue de la flotte du Kriegmeister avait soufflée comme un vent de panique sur la ville. Depuis toujours cette cité, pôle économique du bloc amérique, avait résistée aux ambitions de l'ennemi. Cela serait bientôt terminé, il avait rassemblé une immense armada près à tout détruire sur son passage. Les soldats et la milice s'affairait aux alentours du port et sur les côtes, des défenses avaient été placées en vue du combat à venir les canons étaient armées, les hommes prêts a vendre chèrement leurs vies, mais rien ne les arrêterait, ils allaient être soufflé comme un fétu de paille, tant d'années de résistance, tant de souffrance, de larmes, de sang et de morts... Pour rien. Cette nation avait soutenue la résistance en Europe et dans le monde, et pour un temps ils avaient cru pouvoir endiguer les véhelités du Kriegmeister, mais cela n'avait pas duré, il avait réduit à néant l'opposition, fait le siège d'innombrable cité et massacré des millions d'hommes, de femmes et d'enfant. Comment en était on arrivé là ? On voyait déjà approcher les premiers bâtiments de guerre, dans un apocalyptique bourdonnement d'acier et de souffre. La terreur venait se nicher dans le coeur même des plus courageux guerriers que l'Amérique avait pu envoyer ici, dans cette ville de New York qui serait leur tombeau. Il n'y avait pas eu de négociations, ils n'en espéraient pas, comme ils n'attendaient pas de pitié de la part de cette armée, c'était la fin et ils le savaient.



Les navires étaient en positions, toutes armées pointées vers la terre, un seul mot, et la destruction de cette terre commencerait, le Kriegmeister savoura un instant ce moment avant de prendre la parole et de donner ses ordres:
- A tout les bâtiments, déchaînez les enfers !
Et bientôt tout ne fut plus que feu et mort. les premiers obus atteignirent les bâtiments, faisant naître la destruction dans ce pays qui avait longtemps connu la paix, maintenant ruine et désolation s'abattait sur cette ville comme tant de maux longtemps réprimés, le feu naissait là ou la paix avait longtemps semée ses bienfaits. Après deux heures d'intense bombardement, il donna l'ordre de cesser le feu et de préparer les navires de débarquement, la flotte s'étant approché du rivage. Le bombardement n'avait été qu une étape préliminaire, maintenant venait véritablement l'heure de la curé, du massacre de millions d'âmes. Il dégaina l'épée qu'un de ses immortels lui tendit et la porta au dessus de sa tête, le soleil reflétant les flammes du brasier sur sa lame d'acier polie. Puis, savourant sa victoire, il ouvrit grand la bouche, cela même sans haut-parleurs, par une antique magie, sa voix, sa véritable voix, qui n'avait plus résonnée sur la terre depuis mil ans, puissante et terrifiante couvrit sans peine les râles des blessées et le crépitement des flammes, jusqu'au coeur de la cité en ruine:
- Voici venue l'heure du sang et des larmes, mortels, vous ne vous vous êtes pas prosternez devant moi dans la vie, vous le ferez dans la mort !
Et sur ces mots, il précipita sa tête en arrière et éclata d'un rire dément, enfin, il se souvint de pourquoi il avait fait tout ce chemin, pour en arriver au jour du sang, mil ans qu'il attendait cela, mil ans qu'il avait promit à ses paires de couvrir le monde de feu et de sang, il avait connu la ruine de mil cités, le brasier de millions d'âmes, toujours dans l'ombre. Il savait que la gloire lui était destinée, à lui. Des centaines d'images vinrent exploser dans sa tête, des corps empalés sur des milliers de pieux aux portes de Targovistes aux brasiers de Magdebourg, toujours il avait répondu présent, attendant son heure, et enfin elle lui tendait les bras. La gloire, le triomphe, le sang, la douleur, il s'en ferait une armure et dirigerait l'humanité d'une main d'acier.

Samedi 14 Mars 2009 - 19:58:40
Au court de l anné 2007, avec 5 amis a moi, nous avons décidé d' ecrire un proget littérraire,une nouvelle de science fiction.
 
Nous etions 6 a buchet dessus: moi et un autre a l écriture,deux autre pour corrigé nos fautes d orthographe (0  ) et les deux dernier en temps qu 'illustrateurs.
 
En bossant a fond sur se proget,nous avions mit un peu plus de quatre mois pour l achevé, puis nous l avons envoyé a différente maison d édition, une bonne dizaine.Nous avons toujour etait regeté,certaines daignérent nous avertir et d autre nous zappére completement.
 
Depuis cette tentative ratée, je ne me suis plus intéressé a l ecriture, cette nouvelle devait etre la premiere d une serie de Six tome...Dégouté
 
Le roman s intitulait "Princesse Vaia tome 1 : La reine Diabolique et l 'empire" 

Samedi 14 Mars 2009 - 21:17:18
@Monio: tu peus peut etre mettre un extrait .

Sinon le dernier truc en date que j´ais ecrit:

La riviere

Jack etait un bucheron.
Il etait de toutes les tailles,de touts les troncs.

Un beau jour d´ete,
Par la soif terasse,
Il alla s´assoir,
A l´ombre d´un sequoia.

Il ecouta
Et entendit:
La riviere
L´appel de la soif.

Il va la voir,
Ecarte les fourres,
Il l´entends,
La riviere,
Mais ne la voit pas.

Il tatonne et s´eloigne.
Elle resonne,
La riviere.

Il la cherche,
Plus loin,
Encore plus loin,
La riviere.

Il la cherche
Et se perd.
Il la trouve,
La riviere.

Elle coule,
Solitaire.

Il se penche
Et se desaltere
A la riviere.

Elle est amere,
La riviere.
Elle est ecarlate,
Les mouches y boivent,
Les poissons y flottent.

La riviere,
Il la fuit:

Plus il court,
Plus il se perd.

Elle le ratrape,
La riviere.
Il s´y noit.

Elle coule,
Solitaire,
Paisible riviere.

(si vous avez un meilleur nom pour le bucheron n´hesitez pas)

et un truc qui date(le premier truc que j´ais dut ecrire, y´a 5 ans ou quelque chose comme ca), que je viens de retrouver:

Ses douces caressent qui commencent a m´enivrer,
Le froid et si Intense contact de ses doigts glaces,
Ce si entetant parfum doux et sucre,
L´etendue de sa triste et glaciale beaute.
Dans un fremissement que je ne Pus m´empecher,
Je sentis le contact de ses levres, d´un Baiser
M´emporter dans une eternite de damne.
Oublieu du passe, je me laisse sombrer
Dans un tourbillon de reves chimeres,
La beaute laisse place a la succube defformee
Et je fuis vers ce cauchemar de realite.

EDIT: Desole pour les accents, mon clavier refuse de les faires.






Samedi 14 Mars 2009 - 23:34:14
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Schéma de cette nouvelle,table des matieres
 
Introduction
 
Partie 1 Les premices d'une guerre
 
chapitre 1 la princesse vaia
chapitre 2 le recrutement
chapitre 3 Langloua
chapitre 4 Van der voloon
chapitre 5 Zapatovitch
 
Partie 2 Lanka
 
chapitre 6 la glace et le feu liés
chapitre 7 le monde des ténébres
chapitre 8 les jungles infernales
chapitre  9 les cités de métal
chapitre 10 l épée du dévoument
 
Partie 3 Tanka
 
chapitre 11 Lamza
chapitre 12 Les dragons des mers limpides
chapitre 13 les géants d 'argiles
chapitre 14 les guérriéres de la tragedie
chapitre 15 l ' etrange éclat de la mort
chapitre 16 les brumes impénétrables
chapitre 17 le double visage du mal
chapitre 18 Voltine,le joiyau de l 'ombre
chapitre 19 dans l' ombre jusqua la mort
 
Partie 4 Sanka
 
chapitre 20 la collection de l 'effroid
chapitre 21 les mers de lave
chapitre 22 les esprits du Carnage
chapitre 23 les fleuves de sang
chapitre 24 les geoliés eternaux
chapitre 25 les forets d 'empalés
chapitre 26 les montagnes morbides
chapire  27 le mangeur d'ame
 
Partie 5 Xanka
 
chapitre 28 le cour des choses
chapitre 29 les conspirations de l 'ombre
chapitre 30 distorssion avec la réalité
chapitre 31 les végétaux doué de vie
chapitre 32 le néo mézozoique
chapitre 33 les mégapoles anarchique
chapitre 34 la téchnologie au service du mal
chapitre 35 le berceau de l ordre nouveau
chapitre 36 l' ambition dissimulé
chapitre 37 la mort d 'andromede
chapitre 38 l ' ambition brisé
 
Chapitre 6 Valum
 
chapitre 39 régularité récompenssé
chapitre 40 derniere ligne droite
chapitre 41 les murailles infranchisable
chapitre 42 la bataille du millénaire
chapitre 43 Prise d Assault a haut risque
chapitre 44 le rois des prédateurs
chapitre 45 les poing d 'acier
chapitre 46 les univers parralléle
chapitre 47 l 'antité sans identité
chapitre 48 les flammes de l'amour
chapitre 49 le face a face
chapitre 50 la supériorité des ténébres
chapitre 51 l étoiles filante du Sacrifice
chapitre 52 les tentacules de l'abime
chapitre 53 l' Extinction du joiyau de l 'est
chapitre 54 le voile noir de l 'incertitude
 
Epilogue

Samedi 14 Mars 2009 - 23:48:51

citation :
Monio_13 dit : En bossant a fond sur se proget,nous avions mit un peu plus de quatre mois pour l achevé, puis nous l avons envoyé a différente maison d édition, une bonne dizaine.Nous avons toujour etait regeté,certaines daignérent nous avertir et d autre nous zappére completement.

Mon gars, toi et tes potes n'êtes pas prêts d'y arriver si vous tentez la "voie royale", autrement dit la publication à compte d'éditeur ; c'est une voie bouchée.
Pas plus, n'essayez pas les comptes d'auteurs : c'est souvent de l'arnaque...

Si vous voulez voir votre nouvelle publiée sous forme de livre, un livre dont peut-être vous aurez vous-mêmes décidé l'esthétique (l'un de vous peut dessiner la couverture, par exemple), un livre dans lequel il pourra demeurer des coquilles ou des fautes de grammaire/conjugaison sans que personne (ou presque) ne vous en tienne a priori rigueur, et que vous pourrez diffuser dans votre entourage restreint en contrôlant le nombre d'exemplaires produits, vous pouvez passer par l'auto-édition. Des sites y sont consacrés (je te laisse au plaisir de la recherche, si ça t'intéresse). Bon, c'est sûr, il faut s'investir financièrement mais, puisque vous êtes plusieurs sur le projet, vous pourrez peut-être tous cotiser pour le voir aboutir...
Bonne chance.


Vendredi 05 Juin 2009 - 16:43:56
vous avez bien fait darreter d'ecrire putain!! le truc enorme Six tomes, pour un premier bouquin, moi des fois je veux me mettre à l'alpinisme et jattaque direct par un 8000 metres... en plus vu les fautes d'orthographe dans le post, si vos nouvelles sont dans le meme style, tu m'etonnes que les maisons d'edition n'aient pas répondu !!aahahhaahahhahaaaa
et si vous vous arretez à la première embuche, c'est que vous etes pas fait pour l'ecriture et c'est tout....sinon vous auriez toi et tes potes un peu fait autrement: ah oui on n'a peut etre vu gros on va commencer par le début, faire simple mais bien....

Mardi 30 Juin 2009 - 12:15:35
Et pourquoi pas commencer pas une grosse histoire? Je ne vois pas le problème.
Si on se fixe ça comme un réel objectif et qu'on ne se disperse pas, peu importe le temps qu'on prend tant que ça t'apporte du plaisir.

ça fait près de 8 ans que je suis sur l'écriture d'un bouquin qui est donc assez volumineux. Bon, il y eu des périodes où j'ai un peu lâché mais j'ai toujours considéré comme un vrai objectif dans la vie.
Puis, après tout, qu'est-ce qui est important? Le finir ou prendre plaisir à l'écrire?
(ça n'empêche que j'ai bientôt fini héhé)

Enfin, les fautes d'orthographes, ne plus en faire, c'est comme le reste, ça s'apprend.

Mercredi 26 Août 2009 - 13:59:25
L'idée de commencer par une "grosse histoire" n'est pas mauvaise à condition d'avoir un synopsis très travaillé et surtout de l'organisation.
Le nombre de volume importe peu du moment que chacun d'eux est le plus complet possible ( que ce soit une suite ou qu'ils offrent la possibilité de pouvoir se lire dans le désordre).
Cela fait treize ans que je suis sur un projet d'écriture et jusqu'à présent je ne l'ai présenté qu'une seule fois (au éditions Bragelonne) qui me l'on refusé cinq jours après dépôt (il l'avait mis dans la mauvaise pile, ce qui m'a fait gagner Six mois d'attente, au final c'est un mal pour un bien). Seulement je ne me suis pas arrêté à ce refus, bien au contraire une fois la colère passée j'ai commencer à cherché toutes les erreurs et remanié le synopsis. Au final, en treize ans, j'ai écris un volume sept fois, allant de trois cent cinquante à plus de sept cents pages (soit grosso modo plus de quatre milles pages), sans compter les dizaines de cartes (indispensable lorsque le monde où évoluent les personnages est créé), les bios des persos principaux, les fiches de language, du bestiaires et des principaux endroits, en bref tout pour se repérer (je vous épargne les heures passées à calculer les distances afin de rendre le tout le plus cohérent possible, sans oublier les conditions climatique). J'ai avec moi un co-scénariste/dessinateur depuis deux ans et nous sommes loin d'avoir finit donc ne te décourage pas, si tu y crois vas-y jusqu'au bout.

Mercredi 26 Août 2009 - 14:35:48


citation :
GH0ST dit : L'idée de commencer par une "grosse histoire" n'est pas mauvaise à condition d'avoir un synopsis très travaillé et surtout de l'organisation.
 


C'est sans doute mon plus gros problème au jour d'aujourd'hui, car quand j'ai commencé, il y a bien longtemps, je n'avais pas l'ambition d'écrire tout un roman et donc je n'avais pas de fil conducteur.
Mes ambitions sont venues au fur et à mesure de l'écriture, mais maintenant je dois faire d'énormes retouches pour redonner de la cohérence. C'est d'autant plus dur que, comme j'ai décidé de coller à de réels faits historiques, je dois maintenant refaire des parties entières de bouquin, en sortant totalement du sentier que j'avais au préalable tracé.

Mais je relativise, comme le fait de terminer me fait un peu peur, ça me fait gagner du temps 


Mercredi 26 Août 2009 - 20:10:47


citation :
da_sway dit : je dois maintenant refaire des parties entières de bouquin, en sortant totalement du sentier que j'avais au préalable tracé.


Très mauvaise idée, ça va plus te compliqué la vie que tirer du bénéfice. Si tu pense que tu as beaucoup de chose à retouché le seul moyen de ne pas t'emmêler les pinceaux c'est de tout recommencer. Non, non ne crie pas, je t'assure que c'est un conseil. J'ai eu le même soucis à un moment donné, entre la 5ème et 6ème réécriture, et à force de remanier des chapitres entier le reste n'avais plus aucune cohérence. C'est logique; en écrivant tu peux te dire "mais quelle andouille, je n'aurais dû le faire comme ça, je vais le faire comme ceci ce sera mieux", sauf que la suite de ton ancien écris n'en tiendra pas compte et tu retrouvera avec des situations totalement hors de contexte.
Ne te décourage pas, si tu y crois c'est le plus important même si tu en viens à détester ce que tu écris car tu te dit que tu stagne toujours au même endroit. J'ai faillit tout abandonner plus d'une fois, heureusement certaines personnes proche m'ont suffisamment botter les fesses pour que je ne fasse pas cette erreur qu'au finale j'aurais certainement regretté.

   
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